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éducation nationale - Page 2

  • Grève des enseignants : masochisme généralisé à l’Education Nationale

    Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2022

    Les syndicats des enseignants se mettent en ordre de marche pour manifester leur colère ce jeudi et expliquent leurs motivations.

    Le SNES FSU dénonce l’insuffisance irresponsable du ministre de l’Education Nationale Jean-Michel Blanquer et des mesures qui provoquent l’épuisement et l’exaspération de toute la communauté éducative. Il ne dit pas que ces mesures sont exagérées, disproportionnées, handicapantes pour l’apprentissage ou ridicules… mais insuffisantes.

    Constatant un « raz-de-marée de la 5eme vague », le SNES FSU témoigne que les classes se vident et se remplissent au compte-goutte au gré des cas contact et des cas positifs, perturbant allègrement la dispensation des enseignements. Les surveillants comme l’administration des collèges et lycées sont submergés par la gestion des absences des élèves comme des personnels pendant que les chefs d’établissements se transforment en machines à valider des attestations sur l’honneur à longueur de journées. Le SNES regrette que des autotests périmés ont été distribués et qu’aucun matériel n’a été installé dans les salles de classes pour « faire face au défi de l’aération » (capteur de CO2, purificateur d’air, possibilité d’ouvrir des fenêtres parfois verrouillées…). L’école ne serait plus en sécurité ! De plus, les professeurs absents ne sont pas remplacés et il y a pénurie de profs ! Il est vrai que depuis 2018 7490 emplois ont été supprimés.

    Maxime Reppert secrétaire national aux conditions de travail pour le SNALC témoigne sur CNEWS du mépris du ministre, puisque les enseignants ont pris connaissance du nouveau protocole sanitaire par la presse la veille de la rentrée de janvier. Il est notable que les annonces faites ces derniers temps à la télévision par les membres de gouvernement se transforment en lois immédiatement applicables au mépris de nos institutions et du processus administratif nécessaire à leur mise en œuvre…


    Il rapporte que le protocole change tous les jours, que les parents doivent faire la queue quotidiennement pour faire tester leur enfant (bien que devant la répulsion de certains enfants, cet acte du test PCR s’apparente à de la maltraitance) et que plus personne n’y comprend rien. Sa colère éclate sur le plateau : « Si l’incompétence était un délit, je peux vous dire qu’actuellement il y aurait de quoi condamner notre ministre. Il porte à son paroxysme simplement la notion d’absurdité ».

    Maxime Reppert est bien le seul parmi les représentants des syndicats à proposer la limitation du nombre d’élèves par classe qui peut se porter à 35 si ce n’est plus dans le secondaire.

    En revanche, hors de question de fermer les écoles. Non, les syndicats exigent plus de sécurité, plus de protocole, plus de mesures protectrices ! Ils demandent notamment des masques chirurgicaux. Le prof gauchiste écolo qui s’insurgeait à la récré contre la pollution que représente les masques ne fait visiblement pas partie des têtes pensantes des syndicats. Rappelons qu’en 2020 le masque en tissu fait maison était encore autorisé. Les syndicats réclament aussi des masques FFP2 ! Pour qui ? Le communiqué ne le dit pas. Peut-être pour un des derniers collègues boomer qui transpire à grosses gouttes dès que quelqu’un passe trop près de lui ? En tous cas les collègues que j’ai pu croiser sur les divers établissements où j’ai pu exercer, en ont tous assez de porter le masque, surtout les profs de langue. Comment se faire comprendre dans une langue étrangère en braillant des heures par jour dans un masque si épais qui étouffe les sons ? Sans parler du manque d’oxygène. Pour le bien-être des enseignants et la qualité des enseignements comme des apprentissages, la copie du SNES FSU est à revoir.

    La liste des revendications se poursuit avec : plus de personnels administratifs, plus de masques, plus de tests, plus d’isolement (des cas contacts intrafamiliaux), le report des épreuves de spécialité du baccalauréat de mars à juin, plus de remplaçants par le gel des suppressions d’emplois, plus de création de postes et le recours aux listes complémentaires. Avec la chasse aux mal-pensants, ceux qui jettent l’éponge et ceux qui n’envisagent pas de discourir malgré les risques d’asphyxie, difficile de trouver de nouveaux intéressés !

    Le protocole sanitaire me marche pas alors les syndicats veulent plus de protocole. Loin de plaider pour un retour progressif à la normale et pour que cette folie-phobie cesse au même titre que les multiples traumatismes probablement indélébiles sur les enfants et les jeunes, les syndicats sont plus zélés encore que le ministre et le gouvernement macronien, leur ouvrant ainsi la voie à des mesures toujours plus liberticides, plus monstrueuses et toujours plus insensées.

    Quel pourcentage des enseignants représentent-ils réellement ? Est-ce qu’ils sont à ce point déconnectés du terrain ? Ou bien ce masochisme touche-t-il l’ensemble des personnels de l’Education Nationale ? 

     

    Source : medias-presse.info

  • Blanquer à l’Éducation nationale, la dictature en marche

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2021

    Blanquer à l’Éducation nationale, la dictature en marche
     

    Par Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste ♦ C’était couru d’avance ! Pour qui s’était penché sur le cas Blanquer dès sa nomination au poste de ministre de l’Éducation nationale et ne s’était pas laissé prendre à son enfumage permanent, il était clair que la dictature était en marche au sein même de l’Éducation nationale.

    C’est ainsi que ce 19 octobre 2021, il a déclaré sans ambages : « Les enseignants doivent transmettre les ‘valeurs de la république’ ou ‘sortir de ce métier’. »
    Pas moins !

    À cet effet, il prévoit un « vaste plan de formation sur 4 ans des personnels, à la laïcité et aux valeurs de la république », prenant appui sur les hommages rendus à Samuel Paty, assassiné pour avoir illustré la liberté d’expression – au programme – par la présentation d’une caricature de Mahomet. C’est précisément pour avoir appliqué la politique du gouvernement qu’il a été assassiné.
    C’est ce qui explique que, pour masquer leur responsabilité, non seulement ceux qui nous gouvernent lui rendent un hommage retentissant mais qu’en plus Jean-Michel Blanquer prend abusivement appui sur cette tragédie pour imposer une politique dictatoriale, qui plus est, non pas aux fauteurs de troubles mais aux victimes réelles ou potentielles.

    Quid des valeurs dites « de la république » ?

    La république est un mode de gouvernement – la res publica – et non un catalogue de valeurs. Néanmoins, celles dont se recommandent ceux qui nous gouvernent pourraient être louables – liberté, égalité, fraternité – si elles n’étaient outrageusement interprétées et mises en œuvre.
    Dans les faits, quelles sont-elles ?

    Vincent Peillon nous dit : « La laïcité consiste à placer le bien commun, l’égalité des droits et le respect de la personne humaine au-dessus des coutumes et des traditions… Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel… »
    Autrement dit, il faut le dépouiller de toute attache pour en faire un zombie sans défense afin d’anéantir notre civilisation et faire un homme nouveau.

    Par ailleurs, Dominique Schnapper, à la tête d’un prétendu « Comité des sages » (sic), affirme la « nécessaire défense des valeurs républicaines pour dépasser les sentiments d’identification à des identités particulières » (notons au passage que notre « identité particulière » n’est qu’un sentiment !)

    L’homme n’ayant plus d’attaches, tous les hommes sont égaux.
    L’égalité est donc la « valeur phare » de la république de ceux qui nous gouvernent avec toutes les dérives que nous connaissons : idéologie du genre déversée aux enfants sans état d’âme, éducation sexuelle dès la maternelle « sans finalité normative de telle sorte que l’élève puisse construire son choix », lutte contre le racisme avec son corollaire, l’ouverture des frontières sans réserve, lutte contre l’antisémitisme, contre le colonialisme assassin, les traites négrières… bref ! Tous les délires mondialistes déversés à haute dose par des associations type LGBT, LICRA, SOS racisme et autres imams qui ont leur entrée pleine et entière dans les établissements dits encore scolaires, lieux où « les intervenants extérieurs ont le droit de manifester ostensiblement leurs convictions philosophiques ou religieuses » en vertu du vade-mecum de la laïcité produit pat Jean-Michel Blanquer en 2017 et auquel tout établissement doit se référer, quand dans le même temps, les enseignants qui n’enseignent plus sont condamnés au silence par le fameux « devoir dit de réserve » qui leur est imposé.

    Exit le savoir… mais uniquement pour nos enfants !

    Pour nos enfants, il n’est donc plus question de transmettre des savoirs – exit le français, la littérature française, l’histoire de nos rois, la géographie de la France et du monde… tout cela est révolu ! Nous sommes aux antipodes des recommandations de Jean Jaurès aux instituteurs dans laquelle il soulignait l’importance de connaître la géographie et l’histoire de la France, « son corps et son âme » disait-il.

    Mais cette éradication des savoirs concerne uniquement nos enfants car, dans le même temps, des structures d’excellence se développent dans les banlieues depuis plus de vingt ans, du primaire à l’université incluse, bénéficiant à plusieurs centaines de milliers d’immigrés répartis dans 1 200 réseaux d’éducation prioritaire, en métropole et outre-mer, dans des banlieues où Jean-Michel Blanquer a couronné le système par la création de 126 « cités de haute qualité éducative » bénéficiant à 700 000 enfants et jeunes de 0 à 25 ans, et également par la création de 13 000 nouvelles places d’internats d’excellence réservées aux élèves « issus de milieu modeste résidant en zone sensible » (sic) qui viennent s’ajouter aux 20 000 places créées par Jean-Michel Blanquer soi-même en 2007 lorsqu’il était recteur de l’académie de Créteil et aux 6 000 créées par Vincent Peillon en 2013 dans une implacable continuité politique, afin de procéder au grand remplacement des élites et accompagner le grand remplacement de population.

    Se soumettre ou se démettre…

    C’est le programme de Jean-Michel Blanquer à l’égard des enseignants qui éprouvent la volonté coupable de transmettre des connaissances et d’assurer en même temps une formation intellectuelle aux enfants qui leur sont confiés dans le cadre de leur métier dans la soi-disant « Ecole de la république » qui n’a plus rien d’une Ecole, à l’égard de ceux qui ne se résignent pas à la dénaturation de leur métier et de leur mission auprès des enfants et des jeunes qui leur sont confiés.

    Il faut « transmettre les valeurs de la république ou sortir de ce métier ».

    Parfait ! Monsieur le ministre ! Seulement voilà, faut-il vous rappeler qu’au fronton des mairies, trônent trois « valeurs – dites – de la république » dont la première affichée est la LIBERTE.

    Alors, nous sommes d’accord ! Appliquez, appliquons les « valeurs de la république » : rendez aux professeurs et aux parents la liberté d’éduquer, d’instruire comme ils l’entendent, rendez la liberté à ceux qui veulent réellement enseigner et qui souffrent de l’effondrement du système, dit encore scolaire, refusant d’y apporter leur caution !

    Allez jusqu’au bout de la mise en œuvre des « valeurs de la république » : donnez à ces enseignants la liberté d’enseigner dans des écoles indépendantes, donnez à chaque famille la liberté de choisir l’école de leurs enfants, la liberté leur est due : ce sont des républicains, ce principe doit leur être appliqué.

    Or vous, qu’avez-vous fait ? Vous avez fait voter en 2018, la loi Gatel dans le but d’assujettir les écoles libres, les écoles indépendantes dites « écoles hors-contrat » aux contenus et méthodes de l’Education nationale autrement dit vous voulez leur faire perdre leur liberté et leur spécificité, c’est-à-dire la marque de leur excellence car c’est ce que vous combattez plus que tout : l’excellence pour nos enfants.

    Si vous ne consentez pas à cette liberté par l’attribution du « chèque éducation », par la liberté des programmes et des méthodes, alors, Monsieur le ministre, nous sommes en droit de vous dire, nous aussi : « Laissez transmettre le savoir à nos enfants ou sortez de ce métier ! »

    Claude Meunier-Berthelot
    24/10/2021

     

    Source : polemia

  • Et revoilà les valeurs de la république

    Publié par Guy Jovelin le 20 octobre 2021

    Et revoilà les valeurs de la république

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    Mardi, au Conservatoire national des Arts et Métiers, le ministre de l’Education nationale a présenté son plan de formation des enseignants à la laïcité. Il y a martelé son message insistant sur la nécessité de transmettre les valeurs de la République au sein de l’école.

    Lire, écrire, compter sont devenus accessoires…

    Le ministre de l’Education nationale a estimé que les enseignants devaient “adhérer aux valeurs de la République et les transmettre”, ou sinon “sortir de ce métier”.

    “Si quelqu’un a un problème avec les valeurs de la République, ça peut être possible sur le plan démocratique, en tant que citoyen français, par contre ce n’est pas possible en tant que fonctionnaire de la République”.

    “Si vous voulez devenir plombier et que vous avez un problème avec les tuyaux, vous choisissez un autre métier. Il faut en faire un autre. Si vous devenez professeur, vous transmettez les valeurs de la République. Et si vous ne les transmettez pas et si même vous militez contre les valeurs de la République, éventuellement sortez de ce métier, parce que vous vous êtes trompés à un moment donné”.

    “Ça n’a peut-être pas été assez clair dans le passé, ça va être désormais très clair dans le présent et dans le futur, au travers de la formation comme de la gestion de la carrière »

     

    Source : lesalonbeige

  • Un taux record de démission des enseignants dans l’Éducation nationale

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2021

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    Selon Anne Coffinier, interrogée dans L’Incorrect :

    L’Éducation nationale traverse une grande crise identitaire, en témoignent les réformes successives des programmes et du baccalauréat. Dans ce climat confus, la création d’écoles hors contrat est, quant à elle, particulièrement dynamique. Quelles en sont les raisons profondes ?

    Il y a plusieurs facteurs. Plus personne ne pense que l’Éducation nationale ne saura se relever de l’état de crise structurelle dans lequel elle se trouve. Les parents cherchent donc des alternatives, et chose nouvelle, les professeurs aussi. C’est pour cela qu’il y a un taux record de démission des enseignants dans l’Éducation nationale. S’ajoute un désir d’avoir une école sur-mesure adaptée aux singularités de son enfant. La culture dominante du « c’est mon choix ! » pousse les parents à considérer comme fondé leur désir de choisir le type de pédagogie adaptée à leur enfant et à leur vision éducative. La culture technocratique qui prévaut au sein de l’école publique fait office de repoussoir pour les parents travaillés par un désir de davantage d’humanité, de respect de la singularité de l’enfant, de pluralité d’utilisation sociale des lieux mais aussi de caractère intégral de l’éducation.

    Toutes ces tendances alimentent l’intérêt pour les pédagogies alternatives, d’autant que l’école publique n’offre plus une pédagogie classique « à la Jules Ferry » : la rigueur, le récit national fédérateur, la culture du respect de l’autorité et de la morale traditionnelle. Tout cela a intégralement disparu de l’école publique. Elle ne possède au final ni les atouts du hors-contrat ni la rigueur et l’efficacité de la communale d’antan. Cela explique largement le développement des écoles hors-contrat depuis dix ans. Pas besoin d’un prétendu désir de repli sur soi ou d’une haine de la diversité pour alimenter l’essor des écoles libres !

    Quelles sont les caractéristiques principales des créations de cette année ?

    Certes, la Covid a compliqué les créations d’écoles : 73 sont repoussées à 2022 quand 104 ouvrent tout de suite, et une quinzaine d’autres a priori d’ici Noël. Mais, inversement, elle aura alimenté les créations d’écoles à fort ancrage dans la nature et ayant une approche de la crise sanitaire fondée sur davantage de bon sens pédagogique.

    La cuvée de création d’écoles de cette année se caractérise par une forte poussée des ouvertures de secondaire (près de la moitié des créations contre un tiers habituellement), des établissements à fort ancrage dans la nature (20% des ouvertures en 2021), un maintien des écoles bilingues ou à spécificité linguistiques (21%) et de celles pour les publics spécifiques (handicaps, jeunes sportifs, etc : 17 %). S’agissant de la pédagogie, les écoles Montessori représentent 17% des créations, tandis que les écoles classiques 15%, les écoles mixant différentes pédagogies alternatives 53% et les écoles démocratiques 15%. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • L’« Education » « nationale » essaie de propager l’homosexualité et autres pratiques chez les enfants

    Publié par Guy Jovelin le 17 mai 2021

    Publié le 16 mai 2021 Auteur par Rédaction

    Les signes religieux sont interdits dans les établissements scolaires publics ; en revanche, les enfants sont invités à porter l’emblème d’un mouvement idéologique particulièrement pervers…

    Les militants pervers veulent propager les problèmes de leur esprit, par tous les moyens, à tous, en particulier les plus jeunes.

    Rappelons que l’homosexualité était officiellement considérée comme une maladie mentale par l’OMS jusqu’en 1990, moment où les puissants lobbys concernés l’emportèrent.

    Et après ça, la République vient chercher des poux dans la tête des écoles catholiques libres et traque « l’endoctrinement » !

    Ici, le message diffusé dans un collège d’Île-de-France :

    chaptal.jpg

    Sur son site, dans un charabia de malades mentaux, le ministère de l’« Education » [sic] « nationale » [sic] invite à bourrer le crâne des enfants. 

    educsol.jpg

     

    Source : contre-info